Gilbert Werndorfer et Eli Partouche
Le livre
Les fêtes juives
Vues et revues
par un shlémil
et un rmah'
Pour un exemplaire, 10 euro sans frais de port
Volume 1
Hanouka Pourim Pessah'
Prix : 2 euros pour l’auteur
2 euros pour l’illustratrice
2 euros pour l’imprimeur
3 euros pour la - le libraire
1 euros pour la synagogue oy
soit un total de : 10 euros
Pour plusieurs exemplaires, à 10 euro sans frais de port, 10 x...
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La boîte d'édition
Le pitch
Il y a le Talmud, la loi juive, la Torah, la cabbale et puis il y a l’auteur de ce petit livre pour raconter les fêtes juives.
Mais peut-on parler d’une fidèle narration lorsque l’on puise les faits, tout autant historiques que dans la pratique de la loi, dans le cerveau d’un pauvre petit homme en prise avec ses interprétations. Interprétations longuement entretenues dans la sphère de l’absurde, chère à l’auteur.
Juste un mot pour la discrète mais non moins talentueuse illustratrice de ce premier volume : waouh, chabada bada et tsoin-tsoin !
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Gilbert Werndorfer, est l’auteur de plusieurs livres, dont la Bible, le Talmud, la cabbale, les livres de Franz Kafka, Marcel Proust, Molière et Freud. Tour à tour, sous des noms d’emprunt pour les livres susmentionnés, il dévoile enfin sa vraie identité pour le présent livre.
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Eli Partouche est une illustratrice de 13 ans qui est née dans la famille de Batman à Gotham city. Lorsqu’elle s’est mise à dessiner des mangas, Batman, dans une colère noire, l’expédia à Grenoble pour s’entretenir avec le Yéti qui vit dans le Vercors. Par la suite, elle a rencontré Hiromu Arakawa, grande amie du Yéti.
Extraits du livre (Hanouka)
Première bougie
Le premier jour de la fête, un homme n’avait pas de bougies de hanouka.
Il vivait seul dans une forêt sombre et dans un pays pauvre. Il était le seul juif de toute la région.
Les commerçants n’avaient aucune bougie, ni d’huile d’olives.
Ils étaient trop pauvres, ils cuisinaient uniquement à l’eau, et seulement quand il pleuvait ! Il n’y avait pas de rivière, pas de ruisseau.
L’homme n’avait aucune solution pour fêter Hanouka ! Il attendait un miracle.
Au bout de quelques heures aucun miracle n’arriva, alors il alla manger du pain sec et bu de l’eau sale.
Il se coucha et se dit : « Bon bah, on verra demain, si le miracle arrive pour la deuxième bougie... »
Deuxième bougie
Notre homme se leva le jour numéro deux des huit jours de l’allumage de la hanoukia (chandelier pour la fête de hanouka), ce qui veut dire en clair, qu’il se réveilla le matin du deuxième jour de hanouka, c’est déjà plus limpide. Comme à son habitude notre homme pris son déjeuner, du pain sec et de l’eau sale, mais là, colorée façon « café ». Il fit sa prière, et demanda à Dieu, une nouvelle fois, un miracle pour l’allumage de sa hanoukia.
Dieu, dans son immense clémence, entendit sa prière.
L’homme, une fois que sa prière était finie et qu’il était habillé, pris le chemin du travail, qu’il n’avait pas.
Sur son chemin, il trouva sous une grenouille, qui chantait « Maoz Tsour » - chant traditionnel pour la fête de hanouka-, une boite de bougies, complète pour les huit jours d’allumage.
Il était tellement heureux qu’il ne se rendit pas à son travail qu’il n’avait pas, pour attendre l’heure de l’allumage, à la tombée de la nuit.
Il avait préparé sa hanoukia et au moment de l’allumage, il s’aperçut qu’il n’avait pas d’allumette pour allumer la hanoukia.
Il pria et pria encore, mais un miracle par jour c’est bien assez !
L’homme désespéré, se coucha, en espérant que le lendemain, il y aurait un miracle sur son chemin, une boite d’allumette, sans doute sous la bouse d’une vache, pour qu’il puisse enfin allumer sa hanoukia le troisième jour…
Moralité : il ne faut jamais sous-estimer la force d’un séant de grenouille.
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